Dabord Definition toute simple:
Définition de la vivisection: Découper le vivant, droguer ( stupéfiants et médicaments ), brûler, aveugler, infecter, traumatiser,
tuer ( armes à feux ), congeler, mutiler chirugicalement des animaux en bonne santé.
Animaux totalement sans défense face aux tortionnaires légalisés (LFCV )
Et ca ca provient du site de One voice et je trouve que ca resume bien l'experimentation animal en quelques question simple donc tout l'monde peut comprendre:
L’expérimentation animale est toujours pratiquée en toxicologie, cosmétologie, dans la recherche, l’enseignement, l’armement mais … elle est obsolète, faillible et amorale.
Quel est l’intérêt de nos jours de pratiquer l’expérimentation animale ?
L’expérimentation animale est une méthode ancienne qui n’a pas suivi l’évolution du monde scientifique. Actuellement, il est reconnu par beaucoup de scientifiques (chercheurs, médecins, vétérinaires …) que les expériences sur les animaux ne peuvent pas être extrapolées à l’homme. Chaque être vivant est un être complexe et une espèce n’est pas le modèle d’une autre. En effet, l’espèce est définie par son isolement reproductif dû à son patrimoine génétique unique.
Et pour l’enseignement scientifique, est-elle utile ?
Les expériences sur des animaux morts ou vivants et/ou anesthésiés sont imposées aux étudiants en biologie. En chirurgie, d’éminents chirurgiens ont déclaré que l’entraînement sur les animaux les avaient gênés dans l’acquisition de leurs techniques. De nos jours, plusieurs méthodes substitutives à l’expérimentation animale à des fins didactiques et de démonstration sont disponibles.
Les tests réalisés sur les animaux pour s’assurer de l’innocuité des substances sont-ils fiables ?
L’homme est de plus en plus soumis à des substances chimiques (alimentation, médicaments, cosmétiques, produits ménagers …). Selon la législation en vigueur, via les tests sur les animaux, les industriels de la chimie doivent s’assurer de l’innocuité de ces produits avant de leur mise sur le marché. Les maladies inféodées à la présence de ces substances dans notre environnement ne cesse de croître. Par exemple, le nombre de cancers a augmenté de 63% en 20 ans. Les modes de vie et les produits carcinogènes seraient responsables de neuf cancers sur dix.
Pourquoi observe-t-on des effets secondaires sur l’homme avec des médicaments qui ont été testés sur l’animal ?
La loi exige que tout médicament soit testé sur au moins deux espèces de mammifères. Les effets secondaires de médicaments sont la 4ième cause de mortalité dans les pays développés ! Ces médicaments avaient suivi les protocoles de tests avec les tests sur les animaux. Il est temps de prendre conscience que l’organisme d’une souris, d’un chien … ne réagit pas de la même façon que l’organisme d’un humain.
Les animaux souffrent-ils ?
Les animaux souffrent par la douleur des expériences et des contentions mais aussi par leurs conditions de vie : enfermement en cage exiguë dans des animaleries souvent exemptes de lumière naturelle, absence de contacts rassurants, stress, brutalité des vivisecteurs …
A la fin des expériences, les animaux sont euthanasiés ou parfois réutilisés pour un autre type d’expérience.
D’où viennent les animaux ?
Les rongeurs proviennent principalement d’élevages spécialisés ce qui n’est pas établi de façon certaine pour les autres espèces. Par exemple, des primates sont capturés dans la nature. D’ailleurs, dans le quotidien du médecin du 2 octobre 2003 Geneviève Perrin-Gaillard, vétérinaire et présidente du groupe d’étude de l’Assemblé Nationale consacré à l’animal, a déclaré : « Il faut plus que jamais poursuivre les contrôles. Y compris dans les facultés de médecine qui pourraient ne pas être à l’abri des trafics de chiens ».
Quelles espèces animales utilise-t-on ?
Singes, chevaux, ovins, caprins, bovins, chiens, chats, lapins, rats, souris, poissons, oiseaux, reptiles ...
Nous n’avons pas le droit de transformer des animaux en matériel de laboratoire.
Les méthodes in vitro sont-elles suffisamment développées ?
Des protocoles alternatifs sont reconnus par l’Union Européenne : peau synthétique pour des tests de phytotoxicité, de corrosivité, test Elisa pour des vaccins …
Cependant, les méthodes in vitro pourraient se développer plus vite mais la volonté politique et économique freine cette avancée technologique. En toxicologie, on peut étudier les effets d’une substance chimique sur des cultures de cellules (humaines) et voir les conséquences au niveau de l’ADN. Si cette substance est toxique pour les cellules, il est fort probable qu’elle le soit au niveau de l’organe et de l’organisme entier. Il est important de mettre en avant la reproductibilité et la fiabilité des résultats obtenus par les méthodes alternatives. D’autant plus qu’il est aisé d’orienter un protocole expérimental sur les animaux en fonction des résultats que l’on souhaite obtenir.